Le réchauffement climatique fait présager une diminution des ressources alimentaires disponibles pour les 7 milliards d’humains. Il conviendra donc de plus en plus de se demander si le nombre des chats et surtout des chiens domestiques n’est pas devenu excessif.
Ces animaux consomment de plus en plus de produits analogues à ceux dont les humains se nourrissent, voire souvent de meilleure qualité. Or, excepté les chiens au service des éleveurs, leur apport pour résoudre les besoins primaires de l’humanité est faible. Posséder un chien deviendra un luxe de plus en plus coûteux.
On fera valoir que les chiens dits d’utilité sont aujourd’hui indispensables. Parmi ces chiens, on compte les chiens d’assistance pour les personnes handicapées, les chiens de sauvetage, les chiens d’avalanche, les chiens policiers ou douaniers. La grande majorité des chiens sont dits de garde. Ils aboient lorsque des inconnus d’eux s’approchent des propriétés ou résidences dans lesquelles ils vivent.
Avec les guerres, mal nourris, les chiens redeviennent de simples prédateurs. La télévision couvrant la guerre en Ukraine montre souvent, avant d’être censurée, des chiens noirs de grande taille se disputant le cadavre d’un combattant.
Pour ce qui est des chiens, voici leur répartition estimée en 2010 :
- 1 – Etats-Unis : 61 080 000
- 2 – Brésil : 30 051 000
- 3 – Chine : 22 908 000
- 4 – Japon : 9 650 000
- 5 – Russie : 9 600 000
- 6 – Afrique du Sud : 9 100 000
- 7 – France : 8 150 000
- 8 – Italie : 7 600 000
- 9 – Pologne : 7 520 000
- 10 – Thaïlande : 6 900 000
Source : Pet Market, octobre 2010.