On lit sur Internet le 20 juillet en soirée ;
Quelques jours après qu’une foule hostile de près de 200 personnes se soit attaquée à des policiers municipaux en plein centre de Lyon, une nouvelle agression de policiers a été filmée à La Guillotière.
Gérald Darmanin, le ministre de l’Intérieur, a réagi par le tweet suivant :
« Plein soutien à nos trois policiers victimes de violences insupportables à Lyon lors d’une opération pour reprendre le terrain à la délinquance le jeudi 21 juillet. À ma demande, tous les moyens sont mobilisés pour interpeller les auteurs. S’en prendre à un policier, c’est s’en prendre à la République ».
Et alors ? Que se passera-t-il ? Rien
Les « auteurs » agissent masqués, par bandes de plusieurs dizaines d’individus très mobiles. Si besoin est, ils se cachent le temps nécessaire dans des appartements voisins.
Par ailleurs, si des policiers recourent à leurs armes de service et blessent même légèrement un agresseur, ils encourent les plus lourdes sanctions, y compris au pénal. Le concept de légitime défense n’est que rarement évoqué.
Cette hyperviolence n’est que le signe avant-coureur d’une véritable guerre menée contre l’Europe traditionnelle par des représentants du terrorisme internationnal. Pour y faire face, il faudra se résoudre à faire appel aux forces armées, agissant en coordination avec les diverses polices et la justice. Le coût sera considérable.
Mais ce sera le prix à payer pour ne pas disparaître