Les chiens (canis lupus familiaris) sont répandus dans tous les continents excepté l’Antarctique. Ils sont si nombreux qu’il est impossible d’estimer scientifiquement leur nombre, ceci qu’il s’agisse des chiens domestique ou des chiens redevenus sauvages après qu’ils aient été abandonnés par leurs propriétaires. Ce nombre est généralement estimés à plus un milliard. Ils vivent aussi bien dans les agglomérations urbaines,les montagnes au dessus de 20.000 mètres, les forêts tropicales, les iles océaniques et les réserves naturelles qui devraient être totalement protégées.
Ils sont omnivores mais préfèrent cependant les aliments carnés. Ce sont donc des milliers de tonnes de viande qu’ils consomment tous les ans. Cette viande, qu’elle soit en morceaux ou incorporée dans des aliments industriels, pourrait tout à fait convenir à des humains. Mais, notamment dans les pays très peuplés comme l’Inde ou la Chine, elle ne leur parvient pas. Les chiens s’en nourrissent en priorité.
Par ailleurs les chiens, qu’ils soient sauvages ou domestiques, pourchassent pour s’en nourrir et parfois par jeu, des centaines d’espèces vivantes. C’est ainsi que les oiseaux sauvages jadis présents dans les villes ont pratiquement. Ne subsistent que les pigeons mieux armés que les autres oiseaux pour échapper aux chiens. Les moineaux ou les mésanges se sont considérablement raréfiés. Sur les plages, les chiens font une chasse permanente aux mouettes et autres oiseaux marins qui manquent de plus en plus d’espaces vitaux
Lors de la période récente de pandémie, ils ont échappé aux contraintes de l’isolement et ont contribué à répandre le virus. En Ukraine aujourd’hui, les chiens sont omniprésents sur les zones de combat. Ils consomment le peu d’eau disponible et n’hésitent pas à attaquer les blessés incapables de se déplacer.
Il faudrait évidemment considérer les chiens comme une espèce nuisible. Leur possession devrait être étroitement réglementée. Quand à ceux vivants en liberté, ils devraient être abattus.
Les chats posent aussi les mêmes problèmes, mais étant plus discrets, on les remarque moins