Le chef d’état-major des Armées, le général Fabien Mandon, a provoqué un coup de tonnerre mardi 18 novembre au congrès des maires de France, en déclarant que le pays devait restaurer sa « force d’âme pour accepter de nous faire mal pour protéger ce que l’on est » et être prêt à « accepter de perdre ses enfants » Le chef d’état-major des Armées, le général Fabien Mandon, a provoqué un coup de tonnerre mardi 18 novembreen déclarant que le pays devait restaurer sa « force d’âme pour accepter de nous faire mal pour protéger ce que l’on est » et être prêt à « accepter de perdre ses enfants ». «
• « Si notre pays flanche parce qu’il n’est pas prêt à accepter de perdre ses enfants… »
« On a tout le savoir, toute la force économique et démographique pour dissuader le régime de Moscou […], , a déclaré le général Fabien Mandon, le plus haut gradé français, lors de son discours devant les maires. Ce qu’il nous manque, et c’est là où vous avez avec un rôle majeur, c’est la force d’âme pour accepter de nous faire mal pour protéger ce que l’on est »
« Si notre pays flanche parce qu’il n’est pas prêt à accepter de perdre ses enfants, parce qu’il faut dire les choses, de souffrir économiquement parce que les priorités iront à de la production défense, alors on est en risque », a-t-il ajouté.
Des propos qui ne sont pas du tout passés inaperçus, et ont déclenché la colère des partis, y compris à droite. Plusieurs responsables politiques ont accusé le Macron de préparer les esprits français à la guerre contre la Russie., même si celle-ci dégénérait en guerre nucléaire de base intensité
L’indignation est d’autant plus grande que chacun connait les raisons de ces propos. Ils ont été encouragés par Macron. Chacun sait que dans le cas de l’aggravation de la situation les forces vives du pays feraient en sorte qu’il conserve ses fonctions.
Ayant par la suite renchérit sur les propos du Chef d’Etat major des Armées, Macron a clairement montré qu’il compterait sur une guerre de haute intensité entre la Russie et l’occident pour pouvoir tel Clémenceau en son temps rester président de la République et jouir des avantages de la fonction, au prix de centaines de milliers de morts du côté français. Macron est trop jeune pour avoir fait la guerre d’Algérie et vu rentrer dans un poste militaire français un camarade encore vivant mais avec le crâne fracassé par une balle rebelle.
