La science du climat s’intéresse de plus en plus à la géoingénirie solaire. Celle-ci vise à contrôler l’actuel réchauffement climatique en injectant dans la haute atmosphère des nuages de particules réfléchissantes.
On parle de stratospheric aerosol injection (SAI) Longtemps considéré comme un objectit théorique, cette approche a conduit à l’étude en profondeur des éruptions volcaniques et le refroidissement naturel qui en est la conséquaence.
Mais y des chercheurs de la Columbaria University soulignent les incertitudes et les risques d’une telle pratique.
Les simulations qui la concernent utilisent des modèles de particules bien e ordonnées qui ne de trouvent pas dans la nature, précise V. Faye McNeill, un spécialiste des aérosols atmosphériques à la Columbia’s Climate School and Columbia Engineering.
Les méthodes actuelles incluent la stratospheric aerosol injection (SAI), le cirrus cloud thinning (CCT) et le Marine cloud brightening (MCB). Le Surface albedo geoengineering (SAG), basé sur l’ augmentation de l’albédo de certaines surfaces telles que les toits et les espaces verts en ville, est aussi simulé.
Dans une étude publiée par Scientific Reports, McNeill et ses coauteurs explorent les multiples obstacles, économiques et politiques s’impose. Ains injecter des particules au dessus des poles pourrait, perturber le régime des moussons, donf dépendent des millions de personnes.ight interfere with the jet stream and alter the circulation of heat between hemispheres.
Source Scientific Reports
“Engineering and logistical concerns add practical limitations to stratospheric aerosol injection strategies” study par by Miranda Hack, V. Faye McNeill, Dan Steingart and Gernot Wagner, 21 October 2025, Scientific Reports.
DOI: 10.1038/s41598-025-20447-2r.
