27/09/2025.La vie dans l’univers

Dans un article précédent, nous écrivions « 

Les galaxies sont des groupes de milliards d’étoiles. Ces dernières sont liées entre elles par la gravité, ce phénomène qui attire entre eux tous les corps qui ont une masse. Les galaxies contiennent aussi les planètes tournant autour des étoiles, du gaz, de la poussière. Ainsi que de la matière noire (une substance omniprésente dans l’Univers, invisible à nos yeux et nos instruments, mais détectée par les scientifiques de manière indirecte).

Les galaxies elles-mêmes s’agglomèrent en amas de galaxies, toujours en raison de la gravité. L’Amas de la Vierge, par exemple, compte près de 2 000 galaxies. Et ces amas sont eux-mêmes regroupés en superamas de galaxies ! Ils seraient quelques millions dans l’Univers visible.

Ceci signifie en bonne logique que la vie est apparue, comme elle l’a fait sur la Terre, et selon des processus voisins, sur les planètes habitables qui gravitent autour des étoiles constituant le point central des systèmes solaires formant les constellations puis les galaxies.

Ce seraient donc des centaines de milliards de milliards (nous ne faisons pas le calcul), de planètes susceptibles d’abriter la vie que l’on pourrait identifier dans l’univers visible.

Certes cette vie ne donnerait pas partout naissance à des espèces vivantes intelligentes semblables à l’espèce humaine. Mais à l’inverse, elle pourrait produire sur le mode hasard et nécessité des espèces plus intelligentes que l’espèce humaine, éventuellement susceptibles de se déplacer d’une planète à l’autre.

Ces êtres n’utiliseraient pas forcément poue cela les procédures de la physique newtonnienne qui fixenr des limites strictes à ce que qu’elle définit comme le temps et l’espace.

De plus, elles pourraient faire appel à la physique quantique pour laquelle le temps et l’espace sont des concepts relatifs.

On objectera que la physique quantique ne s’applique pas dans le cadre de la physique ordinaire qui nous concerne. Nous ne sommes pas faits de qubits mais de blits classiques. Cependant nous commençons à maitriser les deux domaines, au moins au niveau microscopique.

Il n’est pas exclu que nos descendants apprennent à utiliser les particules quantiques au sein même de leur organisme, afin de passer aisément du biologique au quantique et réciproquement.

Dans ce cas, pourquoi dans les milliards de galaxies aujourd’hui identifiés, des êtres que nous qualifiions d’extraterrestres ne viendraient ils pas nous visiter ?

Référence

    A Deep Search for Ethylene Glycol and Glycolonitrile in the V883 Ori Protoplanetary Disk

    Published 2025 July 24 • © 2025. The Author(s). Published by the American Astronomical Society.
    The Astrophysical Journal Letters, Volume 988, Number 2

    Abstract

    Ethylene glycol (; hereafter EG) and glycolonitrile (; hereafter GN) are considered molecular precursors of nucleic acids. EG is a sugar alcohol and the reduced form of glycolaldehyde (CH2(OH)CHO; hereafter GA). GN is considered a key precursor of adenine formation (nucleotide) and can be a precursor of glycine (amino acid). Detections of such prebiotic molecules in the interstellar medium are increasingly common. How much of this complexity endures to the planet formation stage, and thus is already present when planets form, remains largely unknown. Here we report Atacama Large Millimeter/submillimeter Array observations in which we tentatively detect EG and GN in the protoplanetary disk around the outbursting protostar V883 Ori. The observed EG emission is best reproduced by a column density of and a temperature of at least 300 K. The observed GN emission is best reproduced by a column density of and a temperature of

    K. Comparing the abundance of EG and GN relative to methanol in V883 Ori with other objects, V883 Ori falls between hot cores and comets in terms of increasing complexity. This suggests that the buildup of prebiotic molecules continues past the hot core phase into the epoch of planet formation. Nascent planets in such environments may inherit essential building blocks for life, enhancing their potential habitability. Further observations of this protoplanetary disk at higher spectral resolution are required to resolve blended lines and to confirm these tentative detections.

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