Nous ne prenons pas assez en considération les exploits qu’accomplit à chaque instant notre cerveau. Dire son nom à quelqu’un est déjà une tâche difficile à réaliser par un calculateur
Keith Hengen, biologiste à la at Washington University à St Louis rappelle cependant que cela ne serait pas possible sans le désordre voire le chaos, qui règne à chaque instant dans le cerveau.
Ils nomment cette hypothèse « the critical brain hypothesis ». Selon eux, la matière grise balance en permanence entre l’ordre et le désordre dans ce qu’ils nomment une “critical zone”, autrement dit au bord du chaos.
Il s’agit d’un phénomène que l’on retrouve en permanence dans la nature, par exemple dans les avalanches ou les incendies de forêts . De petits évènements peuvent avoir des conséquences catastrophiques . Ils sont gouvernes par des principes mathématiques.;
Ces hypothèses semblent absurdes, mais aujourd’hui d’autres neuroscientifiques les sles partagent. C’est le cas de Karim Jerbi, de l’Université de Montreal. Cette hypothèse devrait nous aider à augment notre flexibilisé mentale. Elle devrait aussi nous aider à mieux comprendre le fonctionnement des cerveaux de certains animaux chats ou singes. On lira auss sur ce sujet Woodrow Shew, physicien à l’University of Arkansas, Un article en ce sens vient d’être publie dans Neuron
