Par univers on entendra non seulement l’univers mais l’univers tel que le définissent les sciences actuelles, depuis la cosmologie jusqu’aux sciences biologiques et microbiologiques.
En ce sens l’uivers n’est pas infini. Il comprend les 2 2000 milliards de galaxies réparties dans le cosmos. Ces structures sont tellement gigantesques qu’elles se mesurent en années-lumière. Mais il comprend aussi les dizaines de microtubules récemment identifiées dans les neurones des espèces terrestres disposant d’un cerveau. Les microtubules sont des composants majeurs du cytosquelette. Présents dans toutes les cellules eucaryotes , ils interviennent dans la mitose, la motilité cellulaire, le transport intracellulaire et le maintien de la forme cellulaire. Les microtubules ont un diamètre d’environ 25 nm et unr longuer variable selon la forme de la cellule.
Jusqu ‘à présent aucune forme de vie n’a été observée sur les planètes du système solaire Mais ceci ne veut pas dire qu’il n’y en aurait pas et a fortiori sur d’autres planètes extérieures .
Il n’est donc pas impossible de supposer que si d’autres espèces vivantes dans d’autres galaxies, feraaint sur l’univers, des hypothèses scientifiques semblables à celles que nous faisons sur la Terre ?
Ceci veut-il dire que si par des techniques telles qu’emprunter des « trous de ver » les humains pouvaient entrer en contactât avec les habitants d’autres galaxies, ils auraient sur l’univers des vus comparables.
Un trou de ver (en anglais : wormhole, ou parfois pont d’Einstein-Rosen) est, en astrophysique, un objet hypothétique qui relierait deux feuillets distincts ou deux régions distinctes de l’espace-temps et se manifesterait, d’un côté, comme un trou noir et, de l’autre côté, comme un trou blanc.
